19 décembre 2005
Paradis perdu
Dans les gorges de la Dumbéa, la roche est lisse, l’eau claire, l’air pur et les poissons nagent dans le bonheur. Un vrai coin de paradis. Nul ne peut les oublier après y avoir goûté.
Pour y aller, facile : il suffit de traverser la rivière, et de suivre sa branche nord une quarantaine de minutes.
Dans les nakamals dumbéens, on raconte pourtant que les gorges se refusent parfois à la vue des humains. Chaque année, le 17 décembre, on dit qu’elles disparaissent dans les brumes le temps d’une journée, et que le marcheur est condamné à tourner en rond sans jamais les trouver.
Il faut que je le dise vite à Fabien, qu’il arrête de me faire la tête. C'est pas ma fauuuuuuuteu...
Fanfan
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