Citoyens du monde
Pour faire un bon mariage, il faut :
Une promise franco-australienne élevée en Calédonie et un dulciné anglais mâtiné d'allemand, mariés par un capitaine américain lié à une indonésienne, sur fond de poème de Pablo Neruda traduit en anglais.
Les deux familles réunies en terrain neutre, par exemple le Vallon-Dore : ici l'australienne.
Un parterre châtoyant d'invités : délégation massive de la CPS (en vrai, faut dire Secrétariat général de la Communauté du Pacifique), composée de représentants de divers pays du Pacifique ; Néo-Zélandais descendant d'Ecossais et sa famille métisse,
couple Melbourno-Tarbais domicilié au Vanuatu ; Bordelais qu'aime-pas-les-mariages…
Une troupe polynésienne d'opérette.
L'ambiance irlandaise de la soeur et des cousins
ou celle d'un groupe de jazz-blues nouméen type Four or five.
Jamais fait un mariage aussi international ! (d'ailleurs, les discours, on a pas tout compris). Nombreuses variantes possibles. Par contre, préférer les rangers aux chaussures à talons pointus :
ça s'enfonce dans l'herbe tendre, et suivre un mariage sur la pointe des pieds, c'est physique.
Fanfan sans les klaquettes au mariage de Nicole et David