18 août 2006
Transes et vacances
Lundi 17 juillet, 17h30 : arrivée à Roissy Charles-de-Gaulle après 22 heures d’avion. Direction une bière avant de toper le TGV de 19h10 pour Bordeaux.
Lundi 17 juillet, 18h40 : « en raison de la présence d’un colis suspect », évacuation du café et de toute la gare TGV de Roissy.
Hop, tous à l’étage.
Mardi 18 juillet, 15h30 : on s’apprête à découvrir les joies du célébrissime tram bordelais (renommé pour ses pannes, hi hi).
Quand le tram passe, la fontaine des Trois Grâces.
Ah, « en raison de la présence d’un colis suspect », la ligne est bloquée de Graviniès à Sainte-Catherine, et même tout le secteur.
Sans oublier que :
Sur toutes les lignes menant à Bordeaux, le chauffeur avait pris des cachets (c’est pas possible autrement).
A Sablé, la seuneuceufeu a mixé deux trains complet en un seul, archiblindé.
A Paris, au moins toutes les gares du monde étaient en travaux. Je me suis paumée gare de l’Est, égarée gare du Nord et j’ai presque perdu Viviane à Saint-Lazare.
A Suresnes, le train, le RER et le tramway passant à quelques mètres marquaient le tempo dans l’appart de Rémi.
De Paris à Berlin, l’équipe d’Easyjet et notamment « Momo » faisait la quête dans l’avion pour les enfants leucémiques.
A Berlin, on a rejoué « Ring » et pour cause de transports en commun défaillants, mis deux heures plus cinq changements de S-Bahn avant de rallier l’aéroport, deux minutes avant la fin de l’enregistrement.
Et le 12 août, après avoir surmonté l’épreuve de la sécurité aérienne le lendemain de la méga-alerte aux attentats de Londres, après avoir contourné un mouvement social dans les aéroports, après avoir miraculeusement échappé à la menace de typhons au Japon… notre avion s’est fait « foudroyer », dixit le commandant de bord, sur le tarmac de Narita, Tokyo.
Ah oui, vraiment, nous conseillons vivement le tour operator spécial transports.
Fanfan
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