Voici mon envie de torturer les coccinelles
Mépris sur toi, ô petit lecteur qui découvre avec de grands yeux Le Vœu de Marc.
Inutile de chercher, il est introuvable à Nouméa comme à Tiga. Il sort meume de la réserve personnelle d’un des scénaristes, j’ai nommé Grand-Boulet fils de cagou (avec Nicolas Wild, et Lucie Albon au dessin).
Mais attention, on l’a mérité çui-là. Il a quand même fallu faire organiser un festival de BD, faire pression sur Glénat pour qu’ils libèrent Boulet deux semaines, endormir sa méfiance à coups de promesses aguichantes (viens boire le rhum arrangé, viennns), accueillir la bête destructrice de céréales sous notre toit innocent, lui présenter de frêles stagiaires…
Comme dit Ernest-Antoine, l’effort paie : c’est fin bien, Le Vœu de Marc.
Surtout avec une joulie dédicace, mouhaha.
Fanfan
Chanson : Donne du rhum à ton homme, du rhum et du tabac
Humeur : méprisante et tête à claques